samedi 6 avril 2013

Palestiniens - encore une supercherie à la fausse photo

Maysara Abu Hamdiya est mort la semaine dernière d'un cancer de la gorge dans une prison israélienne. La mort du terroriste palestinien, impliqué dans un attentat à la bombe dans un café à Jérusalem, a déclenché en Cisjordanie les habituelles manifestations de violence.  Et généré le non moins habituel lot de falsifications photographiques et autres par les dirigeants palestiniens et les militants anti-israéliens. Une photo qui circule fait croire que Hamdiya aurait été mal traité et était menotté à son lit d'hôpital.  Or il s'avère que la photo a été manipulée et que la main est celle d'un jeune rebelle syrien.
La photo falsifiée qui est diffusée par le lobby anti-israélien.
La vraie photo: celle d'un combattant syrien.
A ce sujet Rui Carmo do blog O Insurgente qui rapporte également la supercherie (Pallywood s'attaque à nouveau à la réalité) recommande la lecture de l'article de Richard Landes: Islamism is winning the cognitive war – thanks to manipulative and gullible journalists.  L'article paru dans le Daily Telegraph est illustré par la célèbre photo Al-Durah.

1 commentaire :

Monique a dit…

La propagande palestinienne est une vaste entreprise qui ne connaît pas la crise. La même propagande fonctionne à merveille pour les enfants palestiniens tués soi-disant par l'armée israëlienne.
En très grande majorité, ce sont :
- soit des enfants qui sont morts dans des accidents de la route,
- soit des enfants des pays arabo-musulmans de la région comme le Syrie, l'Irak tués lors de guerres ou d'attentats,
- soit des enfants de familles qui
servent malheureusement de boucliers humains.
Il est intéressant de lire la phrase de Golda Meir sur Wikipédia concernant la mort des enfants palestiniens.

Evidemment, les antisionistes de tous bords (extrême gauche, gauche de la Gauche, extrême droite, pro-palestiniens musulmans ou pas et même des élus de la droite classique, etc...) relaient ce genre de propagande massivement avec la complicité des journalistes et larmoient à qui mieux mieux sur la plus grande tromperie du XXIéme siècle.

L'affaire Mohammed Al-Durah relayée par France 2 et son journaliste Enderlin en 2001 a abouti à la tuerie de trois enfants franco-israëliens juifs et de leur père à Toulouse en mars 2012 : c'est le tristement célèbre effet papillon. Mais dans ce cas, cet effet a été voulu et fomenté par les élites politico-médiatiques française et européenne.